Salon [libre]

Akihiko sortie enfin de son bureau après quelques jours sans en être sortie a part pour manger avec Misaki car c'était son petit rituel et qu'il ne voulait pas le louper. Maintenant il avait enfin réussie à finir son BL dans les temps ! Ou presque... bon d'accord il avait deux-trois semaines de retard mais ce n'était rien de grave a part que son éditrice s'en était arracher les cheveux et avait harceler Misaki au téléphone pour qu'il le booste à finir. Sa n'avait pas marcher il avait pris tous son temps pour finir son bouquin et maintenant il l'avait envoyer. Vive la tranquillité !Usagi deverait en profiter sa ne serais pas tous les jour un peut de tranquillité enfin jusqu'a ce qu'il est un autre BL à écrire et qu'il aille puiser son inspiration à l'aide de Misaki. Décidément depuis qu'il vivait avec Misaki il n'était jamais en manque d'inspiration et ses BL avait moins de retard...enfin juste quelques jours de retard en moins mais c'était déjà sa ! Alors de quoi les gens se plaigner ! Akihiko soupira et s'affala sur son canapé devant une tasse de café fumant et s'alluma un cigarette . Il commença à fumer tranquillement en alternant avec son café. Le mélange des deux donner un arrière goût intéressant et pas mauvais du tout. et puis au mois sa lui faisait oublier ce qui pour l'instant le tracasser. Ces à dire beaucoup de chose.

-Alalalalaaa...

Akihiko soupira et pensa à Misaki se demandant ce qu'il faisait pendant ce temps... il n'amait pas ne pas savoir où se trouver Misaki sa l'inquiter et le faisait paniquer. Après on se demander pourquoi il allait chercher Misaki a la sortie des cours... Bon d'accord c'était aussi pour qu'il ne traîne pas trop avec d'autre gens. Il devait être un peut trop jaloux et protecteur...mais c'était pour le bien de Misaki alors il continurais !

Misaki était sorti de cours un immense sourire illuminé son visage, il rayonné de bonheur. Bien sur tout ceux qui le voyaient se retourné sur son passage se demandant ce qui le mettait dans un état pareil. Il était rare de voire le jeune adulte aussi souriant a la sorti des cours a son habitude il était déprimé et agissait comme un fantôme. Mais la aujourd’hui il sautiller partout, montrant sa joie et sa bonne humeur au monde entier. Le pourquoi maintenant de cette bonne humeur ? Il était libre, cela faisait plusieurs jours qu’Usagi travaillait sur un roman qui devait fini, l’éditrice avait était insupportable avec Misaki pour qu’il fasse pressions, il ne voyait l’auteur qu’aux repas et encore celui-ci parler peut et était grognon. Quelque par cette distance n’avait pas plus a Misaki, depuis des semaines Usagi ne l’avait pas touché ni même embrasser ou autre choses. Cette distance l’avait blessé et surtout se matin quand celui-ci l’avait prévenu qu’il ne viendra pas le chercher, chose qu’il ne faisait jamais.

Misaki marchait dans les rue d’un pas tranquille la tête dans les nuages, réfléchissant a Usagi et leur relation, il était peux être égoïste après tout il était toujours le premier à se plaindre mais des qu’Usagi faisait se qu’il demandé il n’était pas content. Il s’arrêta en plein milieu de la rue, ne sachant que faire pour se faire pardonné. Il se remit en marche regardant les magasins, se souvenant du jour ou il avait offert des fleurs a Usagi, celui-ci en avait était heureux, peut être devait il lui en offrir de nouveau ? Il se dirigea vers un fleuriste, il observa longtemps les fleurs mais comme la dernière fois il ne savait pas quoi choisir jusqu'à tombé sur un bouquet déjà préparé. Il était magnifique, il y avait des azalée il ne connaissait pas la signification mais il les aimé (=Amour timide et joie d'aimer) des rose rouge, blanche, jaune, et bleu, avec de la verdure et tellement il était indescriptible. Il était aussi hors de prix mais il s’en ficher cherchant dans ses poches son portefeuilles il regarda il avait largement de quoi l’acheter il prix le bouquet, espérant se faire pardonné. La vendeuse était quelqu’un de très gentille et jolie, elle lui offrit un ours en peluche, il avait chaudement remercié la vendeuse et se dépêcha de rentré.

Il arriva en bas de l’immeuble, il prit l’ascenseur et paniqua au denier moment, prenant une grande inspiration, il poussa la porte d’entrée et fit quelque pas dans l’appartement.

-Usagi-San, je suis rentré !

Il rentra dans le salon le bouquet et l’ours a la main.

Akihiko regardait inlassablement l'horloge qui faisait un agaçant tic tac . Les minutes défiler et Misaki n'arriver toujours pas , la panique commencer à monter de plus en plus en lui. Il allait ce lever et partir chercher en urgence Misaki a la sortie des cours quand il se ressaisie. Il devait lui faire confiance ! POur faire apsser le temps et tromper son angoisse croissante Usagi fit les cent pas dans la pied , telle un loup en cage. Plus jamais il laisserait Misaki Rentrait à la maison sans lui. Après tous on ne sait jamais ce qui peut lui arriver , il est tellement naïf ! Son regard ne cesser d'aller et venir de l'horloge à la porte . Ce fut ainsi qu'il passa dix bonne minutes de sa vie dans une angoisse totale. Au moment où la porte d'entré s'ouvrit et que Misaki entra avec son habituel Usagi-san je suis rentrer. Akihiko était déjà réinstaller confortablement sur le canapé ,café et cigarette à la main dans un faux semblant de détente totale et de non-panique. Il regarda d'un regard sévère Misaki avant de lui dire :

-tu en a mis du temps ! Tu était passé où ?

Usagi remarqua enfin se que tenait Misaki dans sa main. Un splendide bouquet de fleur et un... nournours ! C'était pourquoi ? pour lui ? il l'espèrer. Mais si c'était pour quelqu'un d'autre ...? EN pensant à cela une bouffer de jalousie prit naissance en lui ce qui le rendit encore plus bougon. Sa ne devait pas être agréable d'entré et de se faire réprimander par quelqu'un donc Akihiko se fit lus aimable et dit d'une voix douce et chaleureuse à Misaki :

-Tu as passé une bonne journée Misaki ?

Il s'était retenue de toucher Misaki depuis qu'il devait finir son Bl de toute urgence mais maintenant il en avait envie de manière disproportionner. Il ne tiendrait pas longtemps. Et puis Misaki quand lui , ne pouvait pas le toucher ... l'avait-il fait seul ? En tous cas Akihiko avait besoin de toute urgence de sa dose de Misaki. Usagi éteingit sa clope , finit son café et se leva en commençant à se rapprocher de Misaki d'un pas tranquille et lent.

Lorsqu’il vit Usagi Misaki sut qu’il n’allait pas bien, son air trop décontracté et sa cigarette a la bouche a la vu du cendrier il sut que se n’était pas la première. Il lui lança un regard lourd et sévère le réprimandant de son retard, à ce moment toutes les résolutions de Misaki s’envolèrent en un rien de temps. Il n’avait plus qu’une envi c’était de parti loin d’ici en courant, mais il ne pouvait pas il se l’était promit. Pourtant quelque chose força Usagi a se calmé et il lui demanda d’une voix douce comment avait était sa journée ; Misaki ne put retenir un rougissement a l’entente de cette voix, celle qu’il utilisé quand il le toucher quand il l’embrasser, quand il devenait le jouet d’Usagi. Tournant légèrement la tête a Usagi pour ne pas lui montrer son rougissement soudain il l’entendit se levé et s’avancer lentement vers lui. Son cœur battait a mille a l’heure, heureux et totalement terrorisé de se rapprochement de cette proximité. Ne sachant que faire d’autre il tendit le bouquet et l’ours droits devant lui la tête baisser et le visage rouge.

-C’est pour toi Usagi-San ! Je tenais a m’excusé, je ne sais pas comment j’ai fait mais je m’excuse de t’avoir blessé ou d’avoir fait quelque chose qui te dérange. Ce n’était pas mon attention première je m’en excuse réellement.

Il tremblait maintenant mais ce n’était pas tellement de peur c’était d’impatience, il voulait savoir se qu’Usagi aller lui faire, il voulait qu’il le touche et qu’ils oublient tout les malentendus mais c’était quelque chose d’impossible il le savait, il avait vraiment peur et les larmes lui montèrent aux yeux. Et dans un murmure il demanda de nouveau pardon, la vois légèrement étranglé.

Akihiko remarque le regard sévère de Misaki quand celui-ci regarda le cendrier. Mince. Il aurait dut le vider... Maintenant Misaki devait savoir qu'il s'était inquiéter et qu'il avait fumer beaucoup plus que d'habitude. Bon au moins il aura essayer. En tous cas quand il lui parla d'une voix douce et chaleureuse Usagi remarqua que Misaki avait rougit mais qu'il avait détourner la tête surment pour qu'il ne le voyent pas. Ben c'était rater. Et le rouge allait très bien à Misaki. L'auteur s'était lever avant de se rapprocher lentement de Misaki . Quand il fut assez proche de Misaki , celui-ci tendit rapidement ses bras qui tenait l'ours et les bouquet de fleure dans sa direction. Il l'entendit et le regarda sans trop comprendre. Il ne devait pas s'excuser. Il n'y avait aucune raison à cela.

-Ce n'est rien...Misaki.

Akihiko le regarda de ses yeux gris alors que Misaki avait baisser la tête est commencer à trembler. Il n'aimait pas le voire dans cette état. Sa lui faitsait ressentir un sentiment de tristesse qu'il n'aimait pas... Usagi se rapprocha encore de Misaki et écarta les bras de celui-ci avant de l'attirer vers lui délicatement. il glissa sa main sous le monton de Misaki et lui releva délicatement la tête avant de se pencher vers lui et de l'embrasser à pleine bouche. Il l'embrassa ainsi pendant un petit moment avant de s'éloigner légèrement , en tous cas suffisament pour dire :

-Je t'aime.

Après l'avoir dit il l'enlaca délicatement et recommença à l'embrasser. Mais comme le bouquet de fleur le gêner ainsi que le nounours Usagi les lui prit des mains avant de les jeter sur la canapé pour ne pas les abîmer.

-Ce n'est rien...Misaki.

Il entendait ses mots mais il ne les comprenait pas il se sentait coupable mais ne savait pas de quoi. Usagi s’approcha encore de lui le faisant tremblait un peux plus. C’est avec une extrême douceur qu’il lui écarta les bras, Misaki se laissait faire, telle une poupée. Il senti la main d’Usagi lui caresser le menton pour lui relevé avec autant de douceur, il avait l’impression d’être un animal sauvage. Il rencontra alors deux orbes grise qu’étaient les yeux d’Usagi, il plongea au plus profond de se regard si doux, puis il le vit se rapprocher jusqu'à sentir les lèvres d’Usagi sur les sienne. La langue demanda vite l’accès ce que Misaki lui autorisa en ouvrant d’avantage la bouche. Il l’embrassa durant un moment infini pour Misaki avant qu’il ne le relâche, il retrouva les yeux d’Usagi si beau.

-Je t'aime.

A ses mots le cœur de Misaki rata un mouvement. Il se senti fondre ses jambe commencer à le lâcher. Usagi l’enlaça délicatement avant de l’embrasser pour relâcher ses lèvres afin de le débarrasser de ses objets. Misaki reprit volontairement les lèvres d’Usagi en demandant plus, collant son corps à celui de l’auteur, entourant ses bras autour de son cou, caressant ses cheveux. Après un long baiser il enfouit sa tête dans le cou de son ainée afin de cacher ses rougeurs.

-Je suis si content j’ai eu peur que tu étais en colère contre moi ou que j’avais fait quelque chose, je ne savais pas quoi alors j’ai voulu me faire pardonné.

Il s’éloigna quelque peut et lui souria doucement avant de quitter ses bras.

-Je dois aller ranger mes affaires.

Et il s’enfui du salon ou il avait peur de perdre tout contrôle sur lui.

Akihiko regardait sans comprendre Misaki trembler alors qu'il se rapprocha de lui. Dans tous les cas il ne recula pas quand il l'enlaça avec douceur. Misaki avait plonger son regard brillant dans le sien et l'auteur de sentit ...se sentit.... Il n'y avait pas de mot pour décrire ce qu'il ressentait, Il l'amait. Sa devait être , qui le faisait se sentir bizarre et qu'il avait dut mal à se contenir quand il le voyait. Il se pencha et l'embrassa délicatement et Misaki lui accorda l'autorisation qu'il avait demander. Il l'embrassa langoureusement pendant un bon moment avant qu'il ne mette fin au baiser pour lui dire qu'il l'aimait. usagi se repencha pour l'embrasser et fut heureux de sentir le corps de Misaki contre le sien , et ses bras autour de son coup qui lui caresser les cheveux. Après un moment Akihiko sentit Misaki enfouir sa tête dans son coup. Se contact le remplisser de joie. Une joie simple mais belle. Mais au passage il avait bien vue que Misaki avait rougit. Il était trop chou quand il rougissait. Il sourie et caressa la joue de Misaki tendrement. Akihiko écoute attentivement Misaki en le regardant tendrement alors que celui c'était écarter de lui en souriant avant de quitter ses bras.

-Je ne pourrais jamais t'en vouloir Misaki.

Usagi regarda sans comprendre Misaki s'enfuir du salon ,avant de partir à sa suite. Il le rattrapa facilement et le plaqua contre le mur en tenant son poignet droit au niveau de sa tête , juste un peut au-dessus.

-Ma dose de Misaki.

Akihiko l'embrassa langoureusement et glissa sa main sous son t-shirt pour lui caresser le torse e descendit lentement sa main.

Misaki était tout proche de sa chambre encore quelque pas et il sera à l’ abri et en sécurité. Il ne savait pas pourquoi mais jamais Usagi-San ne le toucher dans sa chambre et c’était quelque par une bonne chose comme ça Misaki pouvait se retiré en toute sérénité. Il était heureux des paroles d’Usagi, son cœur battait la chamade. Usagi l’avait à peine touché qu’il avait envi de plus, c’est pour cela qu’il s’était enfui car il avait eut peur de la suite, peur de se voir réclamé d’avantage. Il se sentait excité encore plus quand il pensa a se qu’il avait faillit se passait.
Enfin plutôt se qu’il allait se passer, Usagi l’avait rattrapé tout perdu dans c’est pensée qu’il était et l’avait plaqué contre le mur. Son poignet prisonnier de la poigne d’Usagi. Le regard de celui-ci était le même qu’un prédateur.

-Ma dose de Misaki.

Sur ses paroles il l’embrassa et passa sa main sous son pull caressant son torse. Misaki frissonna sous cette caresse. Elle avait commencé haut puis descendait petit a petit accentuant les frissons de Misaki, qui au départ avait essayé tant bien que mal a se retiré en le frappa de sa main libre, en essayant de stopper se baiser mais il n’y arrivé pas. Il baissa les armes bien trop vite à son gout et se laissa faire, agrippant sa chemise de toutes ses forces. Usagi ne l’aimait pas, c’était des mensonges et lui ne voulait pas y croire, Usagi se servait juste de lui. Il stoppa le baiser pour reprendre à nouveau de l’air. Ses yeux était voilé de désire.


-Usagi-San… pas ici… Usagi sans…pourquoi.

Il avait froid et chaud en même temps, froid de ne pas compté aux yeux d’Usagi et de n’être qu’un remplaçant et chaud sous ses caresses.